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Zakończone - 02:14
Rafael Nadal
6
7
0
0
0
David Ferrer
4
5
0
0
0
Nadal
-
Ferrer
Score
2h12
C'est fini ! Un passing de revers qui arrive dans les pieds de Ferrer et la volée de ce dernier qui termine sa course dans le filet. Septième titre consécutif pour Nadal à Monte-Carlo, c'est historique !
2h10
Drugi set
2h10
7
-
5
6-4 7-5
+
2h09
Enorme coup droit décroisé de nadal et deuxième balle de match.
2h08
Sauvée par Ferrer qui a bien été aidé par la bande du filet sur ce coup là.
2h07
Balle de match pour Nadal !
2h03
Aie aie aie ! Ferrer craque sur cette fin de jeu, il enchaîne une double faute et un coup droit complètement dévissé qui finit sa course dans le couloir et qui offre le break à Nadal. Le majorquin va servir pour le gain du match dans quelques secondes !
2h01
Vilaine double faute de Ferrer qui offre une seconde balle de break à Nadal
2h01
6
-
5
6-4 6-5
+
2h00
Nadal recolle ! Après avoir semblé être en difficulté en début de jeu, il profite d'un smash complètement manqué par Ferrer à 15-15 pour reprendre le contrôle et conclure par un énorme coup droit gagnant.
1h56
5
-
5
6-4 5-5
+
1h52
Ferrer remporte son service et prend les commandes dans cette manche. Attention pour Nadal qui est probablement le moins frais des deux hommes et pour qui une troisième manche serait loin d'être la bienvenue.
1h51
4
-
5
6-4 4-5
+
1h49
Débreak de David Ferrer ! Il revient à hauteur de Nadal dans ce deuxième set et se relance complètement dans la course au titre.
1h48
4
-
4
6-4 4-4
+
1h43
Jeu blanc pour Ferrer à qui il ne reste maitenant plus que deux petites occasion de débreak s'il veut encore pouvoir rêver au titre.
1h42
4
-
3
6-4 4-3
+
1h41
Alors qu'on pensait que Nadal allait avoir du mal à tenir la longueur aujourd'hui, il semble aller de mieux en mieux au fur et à mesure de les jeux défilent. C'est maintenant lui qui dicte le plus souvent l'échange alors qu'il subissait le jeu de Ferrer dans la première manche.
1h39
4
-
2
6-4 4-2
+
1h36
Les deux joueurs tiennent facilement leur service mais il va falloir en faire davantage pour Ferrer s'il veut empêcher Nadal de s'envoler vers un 7ème titre consécutif.
1h33
3
-
2
6-4 3-2
+
1h31
3
-
1
6-4 3-1
+
1h30
Break de Nadal qui profites de quelques fautes directes de Ferrer avant de conclure le jeu grace à un énorme passing de coup droit en bout de course. Il lui suffit maintenant de tenir son engagement pour s'imposer.
1h28
2
-
1
6-4 2-1
+
1h24
Nadal remporte son service sans problème et recolle à 1/1 sans avoir à puiser dans ses réserves.
1h23
1
-
1
6-4 1-1
+
1h22
Jeu Ferrer qui s'évite un départ catastrophique en sauvant avec la manière trois balles de break dont trois consécutives.
1h21
0
-
1
6-4 0-1
+
1h13
Nadal tient bon et s'adjuge le premier set sur sa seconde opportunité.Dans les stats de cette première manches, on retiendra le très faible de pourcentage de Ferrer au premier service (30%) ainsi que le nombre important de fautes directes par rapport aux coups gagnants, 18/11 pour Nadal et 21/12 pour Ferrer. Ce dernier a également manqué de réalisme en ne convertissant qu'une balle de break sur les six qu'il a obtenues contre 2 sur 4 pour le numéro 1 mondial.
1h11
Set 1
1h11
6
-
4
6-4
+
1h08
40-15, Deux balles de première manche pour Nadal.
1h05
Jeu moins accroché que les précédents et ponctué par deux fautes directes de Nadal en revers. Ferrer reste en course dans ce premier set et il va ainsi obliger Rafa à servir pour conclure. L'attitude du numéro 1 mondial sur le jeu à venir va probablement donner de bonnes indications sur la suite de la partie.
1h04
5
-
4
5-4
+
1h01
Nadal confirme à nouveau son break au terme d'un jeu à rallonge. Ferrer va maintenant servir pour rester dans cette première manche.
0h59
5
-
3
5-3
+
0h51
Ferrer tient son service malgré un nouveau jeu accroché et des échanges qui durent toujours autant.
0h45
4
-
3
4-3
+
0h40
Nadal tient tant bien que mal sa mise en jeu après avoir été mené 0-40. C'est pourtant Ferrer qui donne l'impression de dominer les débats, prenant souvent son adversaire de vitesse et faisant un peu les points et les fautes pour le moment.
0h40
4
-
2
4-2
+
0h35
Magnifique Nadal qui sauve trois balles de break consécutives dont la dernière d'une petite merveille de contre amortie de revers en bout de course. 40-40
0h29
Nouveau break pour Nadal. Le sextuple tenant du titre semble moins véloce que d'habitude mais il parvient tout de même à faire la différence à l'aide de ses frappes lourdes et liftées. Attention toutefois, la tâche risque de se compliquer pour lui si Ferrer parvient à se montrer plus régulier. A suivre.
0h26
3
-
2
3-2
+
0h23
Débreak dans la foulée de Ferrer alors que Nadal menait 40-15 sur sa mise en jeu. Il conclu sur une magnifique petite amortie de revers après avoir pilonné le revers du majorquin.
0h21
2
-
2
2-2
+
0h16
Et le break pour Nadal qu'on sentait avoir pris un petit ascendant dans le jeu précédent. Il ne semble pas avoir les jambes trop lourdes pour le moment tandis que Ferrer commet trop de fautes.
0h14
2
-
1
2-1
+
0h10
Jeu très accroché mais Nadal tient bon et remporte son service après avoir sauvé deux balles de break. Le numéro 1 mondial semble avoir trouvé la bonne carburation.
0h09
1
-
1
1-1
+
0h05
Le combat est lancé entre les deux hommes qui sont à nouveau à égalité sur le service de Nadal comme ils l'avaient été sur le jeu précédent.
0h04
Ferrer a attaqué cette finale pied au plancher et il conclu sa première mise en jeu avec autorité
0h00
0
-
1
0-1
+
-
David Ferrer est au service pour débuter ce match
-
En cas de succès, Nadal inscrira son nom au palmarès pour la 7ème fois consécutive, du jamais vu dans l'histoire du tennis
-
Les deux joueurs viennent de faire leur entrée sur le court et l'échauffement ne va pas tarder à débuter.
-
Bonjour à tous et bienvenue sur le Court-Central de Monte-Carlo pour la finale de cette édition 2011 du tournoi qui opposera, dans quelques petites minutes, Rafael Nadal à David Ferrer.
Jeu de service
Break
Inconnu
Latest flashs flash
Rétrospective #1 : Le jour où Federer remportait le seul tournoi sur terre battue bleue de l’histoire. C’était il y a tout juste 12 ans. Le 13 Mai 2012, Roger Federer avait remporté l’un des tournois les plus controversés de l’histoire du tennis. Depuis qu’il est passé sur ocre, en 2009, le Masters 1000 de Madrid occupe une place toute particulière dans le calendrier ATP. Désormais organisé à un mois du début de Roland-Garros, le tournoi est coché par la plupart des cadors du circuit. Cela dit, l'événement espagnol est également connu pour son originalité. Ion Tiriac, directeur du tournoi, a pris l’habitude d’innover afin d’attirer toujours plus. Après avoir fait construire le désormais mythique complexe de la Caja Magica, l’investisseur a fait des choix plus décriés. On notera bien sûr l’édition 2004 du tournoi où des mannequins avaient été embauchés pour ramasser les balles lors des matchs de soirée. Sans trop rentrer dans le détail, on peut simplement mentionner la réaction pour le moins surprenante d’André Agassi lorsqu’il avait été questionné sur ce choix : “ll était difficile, pour ne pas dire plus, de se concentrer sur la balle. Mais je suppose que j’avais un avantage. J’ai l’habitude de jouer avec ma femme (Steffi Graf). Mais les jupes ont l’air d’être un peu difficiles à porter pour courir. Je pense qu’elles devraient être plus courtes (sourire).” L’édition où le tournoi a réellement défié la chronique a eu lieu en 2012. Cette année-là, Madrid avait choqué le monde du tennis en modifiant la couleur de la surface de jeu. Abandonnant son oranger si caractéristique, la terre battue madrilène avait opté pour un bleu électrique. Justifiant ce choix plus que surprenant, Tiriac avait expliqué que ce changement avait pour objectif de permettre aux spectateurs et téléspectateurs de mieux voir la balle. Avant même le début du tournoi, cette innovation avait divisé les joueurs du circuit. En effet, n’ayant pas été consulté par l’ATP, la pilule avait du mal à passer pour certains. Si des joueurs comme Murray ou Tsonga, ont préféré attendre pour parler, d’autres avaient clairement fait savoir leur mécontentement. Le plus célèbre d’entre tous étant bien sûr le roi de la terre battue, Rafael Nadal. Avant le début du tournoi, il déclarait : “J’aime les changements quand ils apportent des progrès. Ce qui fait un grand tournoi, c’est l’histoire du tennis. Donc à mon avis, c’est une erreur. Les joueurs ne comptent pas, ils n’ont rien à y gagner. Une seule personne y gagne quelque chose : le propriétaire du tournoi.” Une fois le tournoi commencé, un problème, de taille, avait éclaté aux yeux de tous : l’ocre bleu était affreusement glissante. Malgré les critiques d’un bon nombre de joueurs, le tournoi, plus médiatisé que jamais, avait réussi son pari : attirer un très grand nombre de supporters. Cependant, les résultats de la semaine, très surprenants, ont vite jeté un froid sur l'enthousiasme de début de tournoi. En effet, Madrid perdait dès les huitièmes de finale son enfant chéri puisque Rafael Nadal (battu par Verdasco, 6-3, 3-6, 7-5). Le lendemain, Novak Djokovic, tenant du titre, se faisait éliminer par Janko Tipsarevic (7-6, 6-3). Très remontés contre l’organisation, les deux stars du tennis ne mâchaient pas leurs mots en conférence de presse. Ainsi, ‘Rafa’ prévenant le tournoi : “ Si les choses continuent comme ça, ce sera triste. Mais l’an prochain, il y aura un tournoi en moins dans mon calendrier.”. Du côté de Djokovic, l’écho était le même : "Je ne serai pas là en 2013 s’il y a encore cette terre battue. Le test a échoué.” Djokovic et Nadal éliminés, Federer avait, de son côté, parfaitement saisi sa chance. Se concentrant sur son tennis, le Suisse s’adaptait parfaitement à la surface pour s’imposer. Après un premier match très difficile face à Milos Raonic (victoire 4-6, 7-5, 7-6), Roger déroulait son tennis pour rejoindre la finale. Disposant coup sur coup de Gasquet (6-3, 6-2), de Ferrer (6-4, 6-4) et de Tipsarevic (6-2, 6-3), il rejoignait sans encombre la finale. Opposé à un Tomas Berdych très en confiance (le Tchèque n’ayant pas perdu un set du tournoi), l'irrésistible Suisse allait finalement s’en sortir après plus de 2h30 d’un combat très accroché (3-6, 7-5, 7-5). Questionné sur cette étrange surface, le champion se contentait de déclarer : "C’était dur de bien bouger sur cette surface, mais il faut s’adapter pour essayer d’en tirer le meilleur parti." Suite au tournoi, l’étau se resserrait autour de Tiriac. Avec les menaces de boycott de Djokovic et de Nadal, l’ATP avait les mains liées. Finalement, l’instance suprême du tennis a pris la décision d’interdire la terre battue bleue dès l’année suivante : “Quelle que soit la couleur, nous devons d’abord nous assurer que les courts sont sans risque et justes pour les joueurs.”. Ainsi, Madrid rentrait finalement dans le rang et, comme par magie, Nadal s’imposait dès l'année suivante.
Nadal ne ferme pas la porte à Paris : “S’il y a une infime possibilité de gagner, je veux y aller, je veux essayer” C’est la grande question du moment : Rafael Nadal jouera-t-il une dernière fois à Roland-Garros ? Malmené par un physique qui n’en fait qu’à sa tête, le Majorquin n’a pas beaucoup joué cette saison (11 matchs, pour 7 victoires et 4 défaites). Si le choix n’est pas encore fait, l'Espagnol a confirmé qu’il était plus proche d’une participation que d’un retrait du tableau. Après trois tournois joués sur terre battue, Nadal est encore assez loin de son meilleur niveau. Très moyen à Barcelone (1 victoire, 1 défaite), il a retrouvé des couleurs à Madrid (3 victoires, 1 défaite) avant de réaliser des performances bien moins convaincantes à Rome (1 victoire, 1 défaite). S’il n’évolue toujours pas à son meilleur niveau, l’intensité physique que l’Espagnol est capable de produire semble augmenter, surtout à l’entraînement. Désormais, l’heure est venue pour le taureau de Manacor de reproduire ce type de performance en match. Dans un entretien réalisé avec nos confrères de Francetv, ‘Rafa’ croit en ses chances de participation mais prévient qu’il ne veut jouer que s’il se sent capable de jouer à 100% : “Je ne veux pas entrer sur le court en sachant que je n’ai aucune option. S’il y a une infime possibilité de gagner, je veux le tenter, je veux essayer. Mais s’il n'y a vraiment aucune chance, non, je ne préfère pas. [...] Si je ne peux pas jouer, ce sera très dur, c’est certain. Mais personnellement, avec toutes les émotions que j’ai vécues là-bas, je crois que ce serait encore plus dur pour moi de jouer sans être compétitif. Je ne veux pas me sentir à Roland-Garros comme je me suis senti à Madrid ou à Barcelone, sans pouvoir me battre réellement.” Interrogé sur ce qu’il attendait par “être compétitif”, il explique : “Je crois qu’être compétitif pour Roland‐Garros, c’est d’aller jouer le tournoi en étant à 100% et si à 100% cela n’est pas suffisant pour gagner un seul match, alors il faudra l’accepter. Mais je ne me vois pas entrer sur le court en sachant que je n’ai aucune option. S’il y a 0,01 possibilité, je veux le tenter, je veux essayer. Mais s’il n’y a vraiment aucune chance, no, je préfère rester avec mes souvenirs ” L’équation est donc simple pour le Majorquin : soit il se sentira en capacité de performer et il jouera soit il ne jouera pas. Ainsi, s’il joue on peut s’attendre à un niveau de jeu assez relevé. Puisqu’il ne sera pas tête de série, sa présence pourrait nous réserver quelques matchs de folie, en première semaine.
Sur un nuage, Muller renverse Rublev à Rome ! Celle-là, personne ne l’avait vu venir. Alexandre Muller, 109e joueur mondial, a fait tomber Andrey Rublev, 6e mondial (3-6, 6-3, 6-2 en 1h48). Issu des qualifications, le joueur de 27 ans a délivré le match parfait (27 coups gagnants, 6 aces, 6 fautes directes) pour éliminer un adversaire, pourtant très en confiance. Muller qui connaît une évolution très progressive depuis le début de sa carrière est peut-être en train de passer un cap. Jusqu’ici très en dessous lors de ses matchs avec les membres du top 10, le droitier s’est mis à y croire. Comme il l’annonçait avant son match, il est entré sur le terrain pour gagner : “Avant quand je rentrais sur le terrain contre de très bons joueurs, j’espérais juste ne pas prendre une bonne fessée. Maintenant, je rentre sur du 50/50 en me disant que c’est un match de tennis que je peux gagner comme perdre.” (propos relayés par L’Equipe). Passant parfaitement des paroles aux actes, le Français rejoint donc les huitièmes de finale à Rome où il affrontera le vainqueur du match entre Stefano Napolitano (125e, invité par le tournoi) et Nicolas Jarry (24e mondial).
Malgré les galères Cilic ne perd pas espoir : “Mon désir de rejouer au plus haut niveau ne s’est pas estompé” Quelle ténacité ! Marin Cilic, gravement blessé au genou, n’a plus gagné un match depuis janvier 2023. Après s’être fait opérer une première fois, courant 2023, l’ex 3e mondial est repassé sur la table d’opération. Enchaînant quelques matchs intéressants mais perdants en début de saison 2024 (4 défaites), il s’est finalement rendu à l’évidence : une seconde opération était nécessaire. Opéré ce vendredi, c’est tout un processus de remise à niveau et de rééducation qui attend maintenant le vainqueur de l’US Open 2014. Bien qu’empêtré dans de sérieux soucis physiques, le Croate d’1m98, connu pour son service de mutant et ses frappes sèches de coup droit, ne semble pas décidé à lâcher l’affaire. Ainsi, alors qu’il libère une place pour les Internationaux de France, où il avait prévu d’utiliser son classement protégé, il s’est expliqué sur les réseaux sociaux : “J'ai pris la décision de subir une nouvelle opération du genou, après mûre réflexion et de nombreux conseils utiles de médecins experts. Cela m'a semblé être la meilleure option pour aller de l'avant et parvenir à un rétablissement complet. Mon désir de rejouer au plus haut niveau ne s'est pas estompé, au contraire, il est plus fort que jamais, et j'ai bon espoir que cette opération supplémentaire m'aidera à me rapprocher de mon retour sur le court.”
Avant d’affronter Badosa, Gauff se confie : “Ce sera difficile contre elle” Coco Gauff n’est pas dans la forme de sa vie. Depuis l’Open d’Australie, où elle avait atteint les demi-finales, battue par Aryna Sabalenka future championne, la numéro 3 mondiale piétine. A l'exception d’Indian Wells, elle n’a pas rejoint une seule fois le carré final. Pire encore, elle n’a plus rallié de finale depuis le tournoi d’Auckland, début janvier. Toujours bien ancrée dans le top 3 mondial, de par sa fin de saison 2023 canon (titrée à Cincinnati et à l’US Open coup sur coup soit près de la moitié de ses points WTA) l’Américaine n’impressionne plus vraiment. A tel point qu’elle a été exclue du “big three” dans lequel sont seulement comptées Sabalenka (2e), Swiatek (1ere) et Rybakina (4e). Son début de tournoi romain, bien que correct, n’a pas vraiment rassuré ses fans. Après un premier match solide (victoire 6-3, 6-3 face à Magdalena Frech, 55e mondiale), la joueuse de 20 ans a tout de même encaissé un 6-0 lors de son match du troisième tour (succès 6-1, 0-6, 6-3 face à Cristian, 68e). Alors qu’elle affrontera une Paula Badosa revigorée en huitième de finale, Gauff a voulu rester prudente en conférence de presse. Ainsi, elle a déclaré : “Paula et moi, nous ne sommes pas des amies, nous sommes à des moments différents de nos carrières, mais nous nous aimons bien. Je pense que c’est une gentille fille. [...] Je l’admire beaucoup et je l’encourage toujours. Ce sera difficile de jouer contre elle. J’ai l’impression qu’elle revient à son meilleur niveau. Elle était numéro 2 mondiale et jouait très bien. Elle reste toujours dangereuse.”
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